Anissa Allali? une bonne dose de pérséverance et de travail! mais pas que ... Découvrez les secrets de son parcours
Anissa Allali? une bonne dose de pérséverance et de travail! mais pas que ... Découvrez les secrets de son parcours
Bonjour Anissa Allali, vous êtes la fondatrice et directrice de l'Atelier A, qui propose des formations sur leur développement individuel aux comédiens. Quelle est la source de ce projet qui promet d'être un succès ?
AA : Avant de monter l'Atelier A, je coachais déjà des comédiens pour des castings et des préparations de rôles avant leurs tournages. J'ai toujours aimé accompagner les artistes dans leur processus artistique afin qu'ils puisent au plus profond d'eux-mêmes et qu'ils se révèlent en tant qu'acteur.
Je travaillais également dans une association où je donnais des cours d'acting à de jeunes comédiens amateurs, en parallèle de mes propres tournages. Ce sont eux qui m'ont poussé à ouvrir l'Atelier, car beaucoup n'osaient pas franchir la porte des école privées. J'ai alors décidé d'ouvrir un lieu qui, outre la formation classique au métier, mettrait en avant ce qui m'avait manqué dans mes anciennes formations : un suivi individuel mais aussi la mise en relation avec des professionnels du métier. Grâce à ces deux éléments clés, les élèves de l'atelier possèdent une vision réelle du métier d'acteur, et y sont préparés au mieux. Dans mon Atelier se mélange de jeunes comédiens amateurs et des comédiens plus professionnels, qui ont déjà l’expérience des plateaux mais qui souhaitent continuer à perfectionner leur jeu.
Vous êtes avant tout une actrice talentueuse, jouant dans plusieurs sériés télévisées et au cinéma. Cette vocation, d'où vient elle ?
AA : Je me souviens parfaitement. J'étais encore au collège lorsque mon professeur de français nous a emmené voir une pièce de théâtre. Ce fut une révélation. J'étais en admiration devant ces comédiens, qui passaient d'une émotion à une autre et contaient des histoires à travers leur personnage. J'ai donc demandé à mes parents de m'inscrire au théâtre, car dès cet instant, j'avais moi aussi envie d'être sur scène et d’interpréter des personnages.
Travailler dans le milieu artistique, a t'il toujours été votre choix ?
AA : Oui, j'ai su très jeune que je voulais être comédienne. La direction d'acteur est venue après, avec le temps et l'envie de creuser plus encore cette passion. J'ai découvert la réalisation grâce à l’association OMJA, qui organisait (et organise toujours) le festival " GENERATION COURT " ; parrainé par Luc Besson. Ce festival permet à de jeunes réalisateurs amateurs de réaliser un court métrage, pour tenter de remporter le premier prix : une formation de 3 ans dans l'école de cinéma « L'EICAR ». J'ai gagné cette fameuse école ... Tout à commencé comme ça...
Vous avez choisi comme formation pour vous perfectionner dans ce métier, le Cours Florent, école renommée dans le milieu du cinéma. Que vous a apporté cette formation ?
AA : Le cours Florent m'a apporté une connaissance sur le métier d'acteur de théâtre, c'est là -bas que je me suis fait mes premiers vrais amis comédiens. Toutefois je suis très vite partie . Assoiffée de cinéma c’était l'image qui m'attirait et à cette époque Florent ne travaillait pas des textes de cinema et ne proposait pas du travail face camera. Je ne sais pas si ça a changé depuis... Je pense que oui.
Plusieurs de nos membres aimeraitent faire carrière comme vous. Quels conseils pouvez vous leur donner ? Et que souhaitez vous véhiculer comme message à travers vos formations pour devenir acteur/actrice ?
AA : C'est un métier de passion et de travail. Il faut aimer ça et y ajouter une bonne dose de travail et de persévérance pour en faire son métier. Dès lors que ces conditions sont réunies, il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne pas .Ce que je dis à mes comédiens, c'est qu'il y une différence entre des comédiens qui travaille et ce que ne travaille pas : c'est la détermination.
La "business créative woman", c'est vous ! A quoi devons nous attendre pour la suite ? Quel est votre souhait pour l'année à venir ?
AA : De voir des comédiens de l'Atelier A sur nos écrans bien sûr !
AA : Avant de monter l'Atelier A, je coachais déjà des comédiens pour des castings et des préparations de rôles avant leurs tournages. J'ai toujours aimé accompagner les artistes dans leur processus artistique afin qu'ils puisent au plus profond d'eux-mêmes et qu'ils se révèlent en tant qu'acteur.
Je travaillais également dans une association où je donnais des cours d'acting à de jeunes comédiens amateurs, en parallèle de mes propres tournages. Ce sont eux qui m'ont poussé à ouvrir l'Atelier, car beaucoup n'osaient pas franchir la porte des école privées. J'ai alors décidé d'ouvrir un lieu qui, outre la formation classique au métier, mettrait en avant ce qui m'avait manqué dans mes anciennes formations : un suivi individuel mais aussi la mise en relation avec des professionnels du métier. Grâce à ces deux éléments clés, les élèves de l'atelier possèdent une vision réelle du métier d'acteur, et y sont préparés au mieux. Dans mon Atelier se mélange de jeunes comédiens amateurs et des comédiens plus professionnels, qui ont déjà l’expérience des plateaux mais qui souhaitent continuer à perfectionner leur jeu.
Vous êtes avant tout une actrice talentueuse, jouant dans plusieurs sériés télévisées et au cinéma. Cette vocation, d'où vient elle ?
AA : Je me souviens parfaitement. J'étais encore au collège lorsque mon professeur de français nous a emmené voir une pièce de théâtre. Ce fut une révélation. J'étais en admiration devant ces comédiens, qui passaient d'une émotion à une autre et contaient des histoires à travers leur personnage. J'ai donc demandé à mes parents de m'inscrire au théâtre, car dès cet instant, j'avais moi aussi envie d'être sur scène et d’interpréter des personnages.
Travailler dans le milieu artistique, a t'il toujours été votre choix ?
AA : Oui, j'ai su très jeune que je voulais être comédienne. La direction d'acteur est venue après, avec le temps et l'envie de creuser plus encore cette passion. J'ai découvert la réalisation grâce à l’association OMJA, qui organisait (et organise toujours) le festival " GENERATION COURT " ; parrainé par Luc Besson. Ce festival permet à de jeunes réalisateurs amateurs de réaliser un court métrage, pour tenter de remporter le premier prix : une formation de 3 ans dans l'école de cinéma « L'EICAR ». J'ai gagné cette fameuse école ... Tout à commencé comme ça...
Vous avez choisi comme formation pour vous perfectionner dans ce métier, le Cours Florent, école renommée dans le milieu du cinéma. Que vous a apporté cette formation ?
AA : Le cours Florent m'a apporté une connaissance sur le métier d'acteur de théâtre, c'est là -bas que je me suis fait mes premiers vrais amis comédiens. Toutefois je suis très vite partie . Assoiffée de cinéma c’était l'image qui m'attirait et à cette époque Florent ne travaillait pas des textes de cinema et ne proposait pas du travail face camera. Je ne sais pas si ça a changé depuis... Je pense que oui.
Plusieurs de nos membres aimeraitent faire carrière comme vous. Quels conseils pouvez vous leur donner ? Et que souhaitez vous véhiculer comme message à travers vos formations pour devenir acteur/actrice ?
AA : C'est un métier de passion et de travail. Il faut aimer ça et y ajouter une bonne dose de travail et de persévérance pour en faire son métier. Dès lors que ces conditions sont réunies, il n'y a pas de raison que ça ne fonctionne pas .Ce que je dis à mes comédiens, c'est qu'il y une différence entre des comédiens qui travaille et ce que ne travaille pas : c'est la détermination.
La "business créative woman", c'est vous ! A quoi devons nous attendre pour la suite ? Quel est votre souhait pour l'année à venir ?
AA : De voir des comédiens de l'Atelier A sur nos écrans bien sûr !