Plongez au coeur de l'histoire autrichienne avec Helen Mirren et Ryan Reynolds pour le film: La femme au tableau

Simon Curtis signe son deuxième long métrage : La Femme au tableau.

Ce film est inspiré d'une histoire vraie, celle de Maria Altmann, interprétée par Helen Mirren dans le film, une juive rescapée de la shoah souhaitant récupérer les tableaux du peintre Gustav Klimt, qui appartenait à sa famille avant la guerre.

C'est en regardant un documentaire nommé : Voler Klimt, que Simon Curtis a découvert l'histoire de Maria Altmann et de son combat pour récupérer le portrait de sa tante. Il a tout de suite souhaité l’adapter en film.
Le réalisateur a démontré qu'il aimait particulièrement restituer une époque, c’est ce que montre son précédent long métrage : My week with Marilyn. Il s'est beaucoup documenté pour que le moindre détail coïncide avec l’époque du film. Et pour cause les comédiens jouent en allemand.

Au moment où le projet a commencé à voir le jour, Maria Altmann était malheureusement décédée, mais son avocat, Schoenberg, interprété par Ryan Reynolds dans le film, était vivant et en bonne santé. Il s’est beaucoup impliqué dans la création du film. Son témoignage a d'ailleurs beaucoup aidé le scénariste du film, notamment pour la partie juridique.
Après avoir été entrainé dans cette incroyable histoire par Maria Altmann, l’avocat a ouvert un cabinet spécialisé dans la restitution d'œuvres d'art.

N'ayant pu bénéficier du témoignage de Maria Altmann, le scénariste Alexi Kaye Campbell a dû faire un important travail d'investigation, afin de se rapprocher au plus près de la vie de l'Autrichienne. Il a découvert une anecdote très surprenante concernant la fuite de Vienne de Maria et sa famille.
Le frère de Maria a réussi à quitter Vienne car il a sauvé la vie du neveu d’Hitler qui s’était cassé la jambe au ski en le faisant descendre de la montagne sur son dos. C’est deux années plus tard qu’il fut convoqué au  quartier général nazi pour  qu’on lui remette des papiers lui permettant de quitter Vienne.

Simon Curtis a souhaité que l'époque des années 40 soit illustrée par des images désaturées, tandis que les scènes se déroulant de nos jours étaient illustrées de manières très vives.

Bien que l'Autriche soit encore traumatisée par une partie de son récent passé et par l’intégration Nazie, la production a été très bien accueilli par les Autrichiens qui ont estimé nécessaire de raconter cette part sombre de leur histoire.

En espérant que ce film ai le même accueil en France, c’est tout ce qu’on lui souhaite et pour vos donner l’occasion de le vérifier, Casting.fr vous offre deux invitations dans le cinéma de votre choix. Alors, est-ce que Maria va récupérer son tableau ? Affaire à suivre…